mercredi 8 avril 2015

Music for the sun & ode in Paris


Là, de ma fenêtre, j'ai les bras qui chauffent. La luminosité de la pièce est incroyable. Même le cactus prend des allures de monstre poétique dont l'ombre dépasse la taille. Le soleil ne fait pas que mettre les gens de bonne humeur, il transforme nos idées sur les objets du quotidien. Avec tout ça, on se dit qu'on est bien bête de rester dans ces climats glagla. Ah Paris... Il faut t'aimer pour rester. J'enfile mes sandales suédoises, mon trench et direction un rooftop pour me dorer la pilule en cette soirée printanière accompagnée de mon premier verre de rosé. Le panard. Que cette chanson accompagne terriblement bien. C'est parce qu'ensuite, je ne me souviens que de ces moments-là, que je t'aime.

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